dimanche 26 mai 2013

L’Europe, un colosse qui vacille


L’Europe, un colosse qui vacille

« Tu as vu le fer mêlé avec l‘argile, parce qu’ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l’un à l’autre, de même que le fer ne s’allie point avec l‘argile. » Daniel 2 :43

La crise grecque qui indique que le pays est au bord du gouffre et que l’ensemble de l’Europe est menacée est un signal fort pour les lecteurs de la Bible. Vouloir l’unité de l’Europe est une démarche noble, mais quels sont les moyens utilisés par les chefs des nations pour parvenir à ce miracle, et surtout quel est le regard de celui qui est au-dessus de tout ce que les humains projettent de réaliser ? Dieu, connaissant le cœur des dirigeants du monde, a longtemps annoncé que, l’empire romain qui a été morcelé pour donner naissance au Nations européennes ne serait pas réunifié (voir Daniel 2). Cela ne veut pas dire que Dieu désire que le monde connaisse la souffrance et la cruauté, non ! Mais il sait que tout projet conçu en dehors de sa volonté est voué à l’échec. Le prophète Esaïe exprime l’avertissement de Dieu en ces termes : « Malheur, dit l’Eternel, aux enfants rebelles, Qui prennent des ‑­résolutions sans moi, Et qui font des alliances sans ma volonté, Pour accumuler péché sur péché! » (Esaïe 30:1)

Cependant, ne cessons pas de prier pour les chefs du monde actuel, car notre liberté dépend aussi de la stabilité des nations.

 

Rien de neuf, sous le soleil !…


Rien de neuf, sous le soleil !…

« Y a-t-il une chose dont on dise : Vois ceci, c’est nouveau ! Elle était déjà bien avant nous. » Ecclésiaste 1:10

Qui ne s’est jamais écrié en feuilletant le tout nouveau catalogue présentant la dernière tendance de la mode vestimentaire : « Incroyable ! C’est ce que je mettais il y a plus de vingt ans ! » ?
Qui n’a contemplé une œuvre d’art préhistorique en murmurant songeur, tout en se tournant vers un tableau de Picasso : « Décidément, il n’y a rien de nouveau sous le soleil ! » ?
Qui n’a un jour découvert sa vérité toute neuve et, fier de cette découverte, il la partage à la ronde, pensant soulever l’enthousiasme général, pour se heurter à l’indifférence blasée de ceux qui entendent une évidence ?
Qui, face aux combats et aux défis de la vie, ne réalise avec agacement, en tournant les pages de l’histoire de l’humanité, que le chemin qu’il croyait innover est déjà labouré par des siècles de prédécesseurs ?
Qui n’a jamais ressenti un goût d’amertume en constatant avec lassitude qu’il n’y a vraiment rien à innover en ce monde ?

Salomon enfoncerait-il, une nouvelle fois, un clou blessant dans la fragilité de notre âme ? Bien au contraire ! Une fois de plus sa parole est source de liberté. Juste après avoir démasqué l’utopie de la course à la nouveauté, il dénonce l’illusion de penser que l’expérience du passé puisse profiter à l’avenir : « Il n’y a pas de souvenir du passé, et ce qui sera dans l’avenir ne laissera pas non plus de souvenir chez ceux qui viendront par la suite. » (1.11) Autrement dit : il est inutile et vain de chercher à tout prix à laisser des traces de son passage, car elles seront de toute façon effacées par le temps qui passe. Combat inutile… Energie gaspillée…
Chaque génération s’agite ainsi sans arrêt, sans réel profit, sans progrès véritable. Elle est en outre dans l’impossibilité de transmettre à celle qui la suit l’expérience qu’elle a acquise. Nous voyons avec effroi des idéologies meurtrières d’il y a à peine deux générations resurgir de nos jours, comme si l’humanité n’avait rien appris de leur poison. C’est que, comme le pense l’Ecclésiaste, l’oubli ensevelit ce qu’a vécu la génération précédente. C’est pourquoi il en sera de même après nous.

Fort de ce désir de laisser des traces, un disciple de Jésus lui fit un jour fièrement remarquer les belles pierres et les ornements qui faisaient la gloire du temple de Jérusalem. Symbole de ce que l’homme peut laisser comme marques sacrées de son passage. Jésus répondit : « Vois-tu ces grandes constructions ? Il ne restera pas pierre sur pierre qui ne soit renversée… » (Marc 13.1, 2)
Les œuvres humaines disparaîtront, érodées par le vent, rongées par l’air, anéanties par le fanatisme… C’est sûr ! Ce qui perdure ce n’est pas la trace, mais l’élan de l’audace créatrice. C’est pourquoi l’homme spirituel ne se soucie guère de laisser des traces. Ainsi, les paroles de l’Ecclésiaste ont la saveur de ces aliments qui, au premier contact, agacent les papilles gustatives puis, lentement, paisiblement, se mettent à dégager un parfum d’une bienfaisante douceur. Parce qu’il faut bien le reconnaître : cette course intrépide à la nouveauté est épuisante et ce besoin de marquer notre passage pour laisser des traces dans l’avenir nous prive de goûter à la simplicité et à la saveur de l’instant.
Pourquoi donc nous fatiguer à croire que seule la réalisation de la nouveauté dans notre existence offre des perspectives et du sens à la vie ? Pourquoi nous épuiser à démontrer qu’il n’y a que ce que nous laissons derrière nous qui donne raison à notre présent et à notre existence ?
Comme si nous devions absolument par ces démarches prouver et justifier notre place sous le soleil ! Vaine course, vain combat…Cessons de croire à la nécessité de croquer du nouveau pour que la vie ait de la saveur.
Quittons ce besoin fébrile et inquiet de laisser des traces de notre passage. Vivons plutôt les yeux grands ouverts sur notre présent. Cessons de voyager dans cette vie comme ces touristes qui traversent en car une somptueuse contrée de montagnes, de rivières, de lac… volets baissés ! Etrangers et aveugles au paysage qui défile. Leur seule préoccupation est de se chamailler afin de disposer de la place la plus confortable, celle qui est la plus en vue et qui reçoit les honneurs de la foule. Et c’est ainsi jusqu’à la fin du voyage.
Goûtons le bonheur simple de la contemplation, de la compagnie des amis, de l’éveil à la vie qui nous entoure.
Puis observons dans notre journée toutes nos actions qui sont polluées par le désir d’attirer l’attention, de recueillir l’approbation, le succès, la popularité, le pouvoir, l’admiration face à nos innovations. Toutes ces quêtes épuisantes pour la réussite, pour la célébrité, pour devenir quelqu’un.

Combien s’agitent autour de nous pour gagner le monde, la notoriété et la reconnaissance… et en souffrent, car leur vie est vide et sans âme. C’est à eux que Jésus dit : « A quoi servira-t-il à un être humain de gagner le monde entier, s’il perd son âme ? » (Matthieu 16.26)

 

Es-tu prêt à écouter ?

Es-tu prêt à écouter ?
« Le Seigneur m’a donné le langage des disciples pour que je sache soutenir par une parole celui qui est épuisé. Chaque matin il éveille, il éveille mon oreille pour que j’écoute à la manière des disciples. Le Seigneur, l’Eternel, m’a ouvert l’oreille et moi je ne me suis pas rebellé, je ne me suis pas dérobé »Esaïe 50:1,4
La grande question pour notre génération n’est pas de savoir si Dieu parle encore à l’humanité, mais si l’humanité est prête à écouter ce que Dieu dit. (Soit dis en passant, qu’on ne peut écouter Dieu s’il ne parle pas)  Nous les chrétiens croyons que la Bible est la Parole de Dieu. Nous croyons que Dieu parle encore à travers les pages de ce livre que nous appelons les Ecritures. (Livre écrit par des hommes) Nous trouvons alors ce passage dans le livre du prophète Esaïe au chapitre 50 et aux versets 4 et 5 Pour Esaïe, il est possible d’entendre Dieu nous parler. Il ne nous donne pas ici de technique d’écoute, il fait simplement remarquer qu’écouter Dieu est avant tout une grâce. C’est Dieu qui ouvre et éveille l’oreille de celui qui veut. Ecouter Dieu est une grâce. Pour Esaïe, il y a un temps pour écouter. Chaque jour, plus précisément chaque matin. Si on peut écouter le Seigneur à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, le matin semble être ici un espace privilégié pour l’écoute. Pour Esaïe il y a une manière d’écouter. Il convient de le faire comme un disciple écoute son Maitre. Le disciple est celui qui reçoit un enseignement et qui est prêt à le mettre en pratique. Le disciple suit l’exemple de son maitre, il adhère à sa vision et à sa pensée. Pour Esaïe il y a enfin un but. Le but de l’écoute est de pouvoir, nourri de la relation avec Dieu, soutenir par une parole celui qui est épuisé, celui qui a le cœur brisé. Cet extrait du livre d’Esaïe est tiré d’un passage prophétique qui annonce le ministère de Jésus-Christ lui- même. Il a pleinement accompli ce qu’a annoncé le prophète et il est aujourd’hui, pour nous, un exemple à suivre sans la moindre crainte. La grande question pour notre génération n’est pas de savoir si Dieu parle encore à l’humanité, mais si l’humanité est prête à écouter à la manière des disciples, sans se rebeller, pour soutenir par une parole, celui qui est épuisé. Nous pouvons adresser cette prière à Dieu : « Seigneur, puisses-tu chaque jour, chaque matin, ouvrir nos oreilles que nous puissions entendre ta douce voix nous enseigner à vivre à la manière des disciples de Jésus-Christ ».
 

samedi 25 mai 2013

Bonne fête des mères

4789

Poulet des îles

Poulet des îles
Une petite escapade dans les iles.
Ingrédients: 4 personnes 4 cuisses de poulet fermier
Ou 4 filets de poulet 1 boite de tomates en cube 2 gousses d'ail 1c a soupe de gingembre fraichement Râpée
1 citron vert 1 bouquet de coriandre fraiche 2c a soupe d'huile 2c a soupe de noix de coco râpée 2c à café de pâte de curry Sel
Préparation
Dans une cocotte, faire chauffer l'huile et y faire dorer les
Cuisses de poulet ou les blancs de poulet coupé en deux.
Quand la viande a bien doré, ajouter l'ail écrasé, le gingembre
Râpé la coriandre ciselé, la pâte de curry, la noix de coco râpé
Le jus et le zeste du citron vert, (moi, j’ai mis tout le citron.)
Bien mélanger pour que les épices ce mélange.
Ajouter la boite de tomate et la moitié de la boite en eau.
Saler, couvrez et laisser cuire 30mn environ sur feu doux.
Servir le poulet avec du riz nature.

Banane farcie des îles Wallis

 

Banane farcie des  îles Wallis 
(pour 2 personnes)-1 banane plantain verte-100g de porc haché (ou bœuf)-1 œuf-3 c à s de lait de coco, Quelques brins de ciboulette-sel, poivre-feuilles de bananier (facultatif)

Coupez la banane en 2 dans la longueur. Enlevez la chair avec une petite cuillère en faisant attention à ne pas abîmer la peau. Râpez la chair dans un saladier. Ajouter l'œuf entier, la viande hachée, la ciboulette ciselée et le lait de coco. Assaisonnez de sel et poivre, puis mélangez. Remplissez les 1/2 coques avec cette farce et enveloppez les dans des feuilles de bananier (préalablement assouplies en les passants au-dessus d'une flamme) ou du papier sulfurisé. Fermez ces extrémités avec des cure-dents. Faites cuire à la vapeur pendant 45 minutes. 
A déguster en rondelles, à l'aide des petits cure-dents qui ont servi à fermer les paquets.

 

Je marcherai moi-même avec toi


Je marcherai moi-même avec toi

Exode 33:14 « Et l'Éternel dit : Ma face ira, et je te donnerai du repos »

Dans les pensées de Moïse, il y avait une prière, un désir inspiré par Dieu Lui-même. Derrière lui et autour de lui, c'était le trouble et la confusion; devant lui, l'inconnu. Le peuple de Dieu était sous la terrible menace des conséquences de son infidélité. Et c'est au milieu de telles circonstances que du cœur de celui qui était resté fidèle sortit un soupir entendu de Dieu seul: "Fais-moi connaître Tes voies... Fais-moi voir Ta gloire!" Et l'Eternel lui répondit: "Je marcherai Moi-même avec toi, et Je te donnerai du repos."

Dieu entend de telles prières, et Il Se propose de les exaucer. Pour Son enfant, Ses voies sont préparées, tracées d'avance, bien que dans Sa sagesse Il les révèle une à une; car Il veut que le principe de la foi gère la vie de Ses enfants obéissants. Ne nous étonnons pas qu'Il nous laisse dans l'ignorance quant à la forme que prendront Ses voies. Il nous suffit de savoir qu'Il a promis que Sa présence même irait devant nous, frayant le chemin. Remettre ses voies au Seigneur, c'est Le glorifier.

Si nous obéissons et Le suivons pas à pas, nous Le réjouissons, car l'épreuve de notre foi, plus précieuse que l'or périssable, Lui est chère. Il veut qu'au jour où nous Le verrons, notre foi Lui donne honneur et louange. S'Il nous demande la foi, Il l'accompagne du don de la paix, à laquelle s'ajoute l'espérance qui ne trompe pas, brillant dans nos cœurs comme une lumière grandissante, une force inspirante.

Nous faut-il plus que Sa présence? Elle comprend tout, absolument tout. Elle est notre avant-garde et notre arrière-garde. Elle nous assure direction et protection. Elle est notre sagesse et notre paix. Sa présence glorieuse nous est assurée par Son Esprit; au milieu de l'agitation, de la tempête, elle nous donne le repos. Elle rend notre travail fructueux et victorieux. Elle nous fait grandir dans la connaissance de Dieu et croître jusqu'à la stature parfaite de Christ. Et par le revêtement de cette présence divine, nos vies attirent les âmes à Lui et vainquent les difficultés.

Des collaborateurs de Dieu

Des collaborateurs de Dieu
«La moisson est grande mais il y a peu d'ouvriers. Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers dans sa moisson» Luc 10:2
C’est l’exhortation de Jésus aux soixante-dix disciples qu’il est sur le point d’envoyer en mission. Lorsque que nous considérons cette invitation du Seigneur, il est surprenant de constater que c’est aux disciples, qui sont eux même des ouvriers de la moisson, qu’il est demandé de prier le maître de la moisson d’envoyer plus d’ouvriers dans sa propre moisson. Pourquoi cela est-il demandé aux ouvriers du champ ? Le maître de la moisson n’est-il au courant, bien plus que ses ouvriers, du manque de main d’œuvre dans sa propre moisson ? N’a-t-il pas, plus que ses ouvriers, le souci du bon et rapide avancement de sa moisson ? Pourquoi donc est-ce que ce sont aux ouvriers de demander d’envoyer plus d’ouvriers dans sa moisson ?
En méditant sur cette interpellation du Seigneur, nous nous rendons compte qu’elle exprime dans une certaine mesure la volonté de Dieu de ne pas agir seul dans l’avancement de la moisson. Il désire prendre ses ouvriers comme des collaborateurs à qui il donne, conjointement, la responsabilité de la moisson. Il ne désire pas utiliser et manipuler ses ouvriers comme des pions sans valeur, mais il veut les prendre comme des collaborateurs de confiance, comme partenaires. A ce titre, Jésus désire que nous nous sentions, nous ses disciples, pleinement concernés par les défis de la moisson, et par le manque d’ouvriers dont elle souffre terriblement. Il valorise et compte sur l’engagement concret de chacun d’entre nous dans son champ, de manière active, mais aussi par la prière et l’intersession.
En effet, en plus de leur présence physique dans l’œuvre, Jésus demande à ses disciples de réclamer l’intervention divine pour l’envoi de plus d’ouvriers dans la moisson. Cette invitation que Jésus a lancée à ses disciples il y a plus de deux mille ans est aussi valable pour nous aujourd’hui. D’où que nous soyons, et quelles que soient nos activités professionnelles, le Seigneur nous invite à un ministère de prière et d’intersession pour l’avancement de son œuvre. Il nous veut comme collaborateurs et ne veut pas agir sans nous, même s’il en a largement la possibilité.
Voulez-vous aujourd’hui être des collaborateurs du Dieu vivant ? Il ne tient qu’à vous de prendre la décision de collaborer à l’œuvre de Dieu. Et si, comme Moïse, vous pensez ne pas avoir la force ou le temps de vous engager dans cette œuvre merveilleuse, priez encore notre Père céleste, pour qu’il vous donne la force car notre Dieu est bon et fidèle pour nous fortifier lorsque nous nous sentons faibles. Que notre Dieu vous bénisse et vous remplisse de sa paix en ce jour.
 

Recette de poulet aux légumes

Recette de poulet aux légumes
Pour 4 personnes, Ingrédients : -deux courgettes-deux carottes-deux navets-deux oignons-deux poivrons jaune et rouge-quatre blancs de poulet-un peu de sauce soja-un kilo de nouilles chinoises-un peu d’huile d’olive-sel-poivre
Préparation
 
Peler les légumes et faire des lamelles avec. Faire chauffer le wok en y mettant un tout petit peu d’huile d’olive. Commencer par faire cuire les carottes et les navets puis rajouter les poivrons et oignons. A part, préparer
 les nouilles chinoises. Quand les légumes sont cuits, rajouter les blancs de poulet et la sauce de soja. Dans une poêle mettre de l huile d’olive et faire une galette avec les nouilles chinoises. Rajouter les légumes et la viande puis servir le tout immédiatement
 

vendredi 24 mai 2013

Filet ou cuissot chevreuil braisé



1 kg de chevreuil environ - 50 g de beurre 100 g de lard fumé 1 verre de vin blanc sec 1 verre d'eau 
1 cuillerée à café de farine sel poivre bouquet garni. Marinade: 1/2 litre de vin rouge corsé 2 oignons coupés en rondelles 4 clous de girofle 1 échalote 
1 gousse d'ail 1 verre à liqueur de cognac autant d'huile thym laurier.

Laissez baigner la viande dans cette marinade de 12 heures à 3 jours au frais. Retournez ia viande de temps en temps avec une cuiller en bois. Les temps de cuisson indiqués pour le gibier seront variables selon l'âge de l'animal. Celui-ci étant difficile à connaître tâtez la viande après le temps de cuisson indiqué. S'il est insuffisant refermez l'autocuiseur et laissez cuire quelques minutes supplémentaires. Le chevreuil doit macérer assez longtemps 2 à 3 jours dans une marinade.

Egouttez la viande très soigneusement. Dans la l'autocuiseur faites chauffer le beurre. Faites-y dorer la viande et le lard coupé en dés. Saupoudrez de farine. Retournez la viande. Ajoutez un verre de vin blanc sec un verre d'eau un verre de marinade et le bouquet garni. Salez poivrez. Fermez la cocotte. Laissez cuire doucement 30 minutes à partir de la mise en rotation de la soupape. Servez ce rôti avec de la purée de marrons des lentilles ou de la marmelade de pommes. Arrosez avec la sauce de cuisson

 

Christelle

 

Compote rouge glacée

Pour 6 à 8 personnes: 500 g de fraises 500 g de cerises 250 g de framboises 250 g de groseilles rouges 3 oranges 500 g de sucre 1 cuillerée à soupe rase de Maïzena.
Préparation
Faites chauffer le jus des oranges avec le sucre. Quand ce sirop est bouillant jetez-y les fraises les cerises dénoyautées les framboises et les groseilles. Faites cuire doucement 20 mn environ. Passez au moulin-légumes. Remettez sur le feu. Ajoutez la Maïzena délayée dans 1/2 verre d'eau. Remuez bien jusqu'à ce que le mélange épaississe. Laissez refroidir. Versez dans un compotier. Vous pouvez décorer avec crème Chantilly et quelques fruits rouges frais ou encore verser au centre d'un gâteau de semoule en couronne

Paninis aux tomates concassées, poulet et fromage

mmmmml44

Paninis aux tomates concassées, poulet et fromage

Pour 2 sandwiches il vous faut : 2 pains pour paninis (en grande surface) 5 tomates moyennes (ou une boite de tomates pelées en conserve) 1 gousse d’ail

1 pincée de sel 1 pincée de sucre en poudre

2 cuillères à soupe d’huile d’olive

4 aiguillettes de poulet (ou des restes de poulet)

15g de beurre

4 tranches assez fines (quelques millimètres) de fromage type Comté, gruyère Suisse, Cantal, de la taille des pains pour paninis

Préparez la concassée de tomates : Plongez les tomates 2 minutes dans l’eau bouillante, rafraîchissez-les et enlevez leur la peau. Coupez leur chair en cubes grossiers. Pelez la gousse d’ail, dégermez-la et coupez-la en dés.

Versez 2 cuillères à soupe d’huile d’olive dans une poêle, faites chauffer, ajoutez les tomates concassées, l’ail, une pincée de sel et une de sucre en poudre. Faites cuire à feu vif et à découvert pendant 15 minutes environ (il ne doit plus rester de liquide).

   

Lentilles, tapenade et citron confit

Lentilles, tapenade et citron confit
Préparez la tapenade : pelez, dégermez l’ail et hachez-le finement avec les câpres et les anchois. Ajoutez les graines de cumin, poivrez. Hachez au robot les olives et la moitié du citron confit. Mélangez à la préparation précédente. Incorporez 15 cl d’huile en filet en mélangeant doucement comme pour une mayonnaise. Rectifiez en sel, poivrez. Réservez au frais.
Mettez les lentilles dans une marmite avec l’oignon, 1 l d’eau et le bouquet garni. Ne salez pas. Portez à ébullition et laissez cuire 20 mn à frémissements. Quand les lentilles sont cuites, salez l’eau. Egouttez, poivrez, ajoutez le cumin en poudre, la moutarde, 1 cuillère à soupe d’huile d’olive et la coriandre ciselée. Laissez tiédir.
Préchauffez le four th. 6/180°. • Coupez les feuilles de brick en 8 triangles. Déposez 1 c. à café de tapenade au centre. Roulez la feuille sur elle-même pour confectionner des cigarettes et badigeonnez-les de beurre fondu. Mettez-les au four 10 à 15 mn jusqu’à ce qu’elles soient dorées.
Servez les lentilles tièdes avec les cigarettes de tapenade, le tout parsemé du reste de citron confit coupé en fines lamelles.
 
Estella
 

Photo de Christelle au travail


Recette de Chèvre et grenades

  • 999


Chèvre et grenades
Pour 4 personnes : Ingrédients-150 grammes de mâche
quatre betteraves coupées en cubes-150 grammes de chèvre
deux grenades-huile -vinaigre balsamique-sel
-poivre préparation :
Sortir les grains des grenades puis mélanger la salade dans un saladier avec les betteraves. Rajouter les grains de grenade et le fromage de chèvre coupé en bouts. Faire une vinaigrette avec le vinaigre et l
huile, saler, poivrer et assaisonner la salade. Déguster bien frais en entrée. Ce plat est parfait en été lorsqu’il fait très chaud.
 
Œufs durs tomates des restes de poisson ou 1 boîte de filets de maquereaux mayonnaise au citron sel et poivre.
Faites durcir les œufs. Ecalez-les et coupez-les en deux dans le sens de la longueur Enlevez les jaunes et mélangez-les intimement avec le poisson. Poursuivez cette incorporation jusqu'à ce que les jaunes d'œufs et le poisson soient parfaitement amalgamés Salez poivrez et ajoutez la mayonnaise citronnée. Travaillez à nouveau ce mélange. Garnissez les blancs d'œufs avec cette farce. Disposez sur le plat de service des rondelles de tomates et garnissez avec les œufs. Servez avec une sauce mayonnaise ou vinaigrette. Variante: La même préparation peut se faire avec du thon ou toutes conserves de poisson. Pour corser ajoutez un rien de paprika ou de poivre de Cayenne.

 

Gâteau à l’ananas, parfumé au rhum

  • Gâteau à l'annanas

    Gâteau à l’ananas, parfumé au rhum
    Temps de préparation: 15 minutes : Temps de cuisson: 30 minutes-Personne(s) 6 Ingrédients: Œufs - 3 jaunes Sucre - 175 gr Beurre - 100 gr (mou) Farine - 200 gr Levure chimique - 1/2 sachet Ananas - une dizaine de tranches fraiches ou au sirop Sucre vanillé - 1 sachet Rhum - Facultatif
    Instructions: Préchauffer le four à 200°.
    Dans un saladier fouettez les œufs avec le sucre le mélange doit blanchir. Ajouter la farine, le beurre, la levure et le sucre vanillé. Ajouter un peu de rhum, bien mélanger.
    Beurrer un moule à manqué ou à tarte, et verser la pâte.
    Répartir harmonieusement les tranches d'ananas.
    Enfourner 30 min environ. L'été servir avec une boule de glace coco.
     
    Christelle