vendredi 19 juillet 2013

Gâteau chocolat, courge et orange


 


Gâteau chocolat, courge et orange

Pour un moule à manqué de 22 cm 200 g de chocolat noir
200 g de purée de courge (ici courge musquée) 50 g de beurre 100 g de farine 3 œufs 100 g de sucre en poudre
une orange, quelques gouttes d'huile essentielle de mandarine....(facultatif)- Préchauffer le four à 180 °C
- Faire fondre le chocolat au bain marie puis y ajouter le beurre- Dans un saladier, mélanger la purée avec le chocolat puis y ajouter le sucre et la farine- Ajouter les œufs un à un en mélangeant bien- Ajouter le zeste et le jus de l'orange et éventuellement l'huile essentielle- Verser dans un moule à manqué et cuire 20 minutes

 

Anaëlle

 

dimanche 26 mai 2013

L’Europe, un colosse qui vacille


L’Europe, un colosse qui vacille

« Tu as vu le fer mêlé avec l‘argile, parce qu’ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l’un à l’autre, de même que le fer ne s’allie point avec l‘argile. » Daniel 2 :43

La crise grecque qui indique que le pays est au bord du gouffre et que l’ensemble de l’Europe est menacée est un signal fort pour les lecteurs de la Bible. Vouloir l’unité de l’Europe est une démarche noble, mais quels sont les moyens utilisés par les chefs des nations pour parvenir à ce miracle, et surtout quel est le regard de celui qui est au-dessus de tout ce que les humains projettent de réaliser ? Dieu, connaissant le cœur des dirigeants du monde, a longtemps annoncé que, l’empire romain qui a été morcelé pour donner naissance au Nations européennes ne serait pas réunifié (voir Daniel 2). Cela ne veut pas dire que Dieu désire que le monde connaisse la souffrance et la cruauté, non ! Mais il sait que tout projet conçu en dehors de sa volonté est voué à l’échec. Le prophète Esaïe exprime l’avertissement de Dieu en ces termes : « Malheur, dit l’Eternel, aux enfants rebelles, Qui prennent des ‑­résolutions sans moi, Et qui font des alliances sans ma volonté, Pour accumuler péché sur péché! » (Esaïe 30:1)

Cependant, ne cessons pas de prier pour les chefs du monde actuel, car notre liberté dépend aussi de la stabilité des nations.

 

Rien de neuf, sous le soleil !…


Rien de neuf, sous le soleil !…

« Y a-t-il une chose dont on dise : Vois ceci, c’est nouveau ! Elle était déjà bien avant nous. » Ecclésiaste 1:10

Qui ne s’est jamais écrié en feuilletant le tout nouveau catalogue présentant la dernière tendance de la mode vestimentaire : « Incroyable ! C’est ce que je mettais il y a plus de vingt ans ! » ?
Qui n’a contemplé une œuvre d’art préhistorique en murmurant songeur, tout en se tournant vers un tableau de Picasso : « Décidément, il n’y a rien de nouveau sous le soleil ! » ?
Qui n’a un jour découvert sa vérité toute neuve et, fier de cette découverte, il la partage à la ronde, pensant soulever l’enthousiasme général, pour se heurter à l’indifférence blasée de ceux qui entendent une évidence ?
Qui, face aux combats et aux défis de la vie, ne réalise avec agacement, en tournant les pages de l’histoire de l’humanité, que le chemin qu’il croyait innover est déjà labouré par des siècles de prédécesseurs ?
Qui n’a jamais ressenti un goût d’amertume en constatant avec lassitude qu’il n’y a vraiment rien à innover en ce monde ?

Salomon enfoncerait-il, une nouvelle fois, un clou blessant dans la fragilité de notre âme ? Bien au contraire ! Une fois de plus sa parole est source de liberté. Juste après avoir démasqué l’utopie de la course à la nouveauté, il dénonce l’illusion de penser que l’expérience du passé puisse profiter à l’avenir : « Il n’y a pas de souvenir du passé, et ce qui sera dans l’avenir ne laissera pas non plus de souvenir chez ceux qui viendront par la suite. » (1.11) Autrement dit : il est inutile et vain de chercher à tout prix à laisser des traces de son passage, car elles seront de toute façon effacées par le temps qui passe. Combat inutile… Energie gaspillée…
Chaque génération s’agite ainsi sans arrêt, sans réel profit, sans progrès véritable. Elle est en outre dans l’impossibilité de transmettre à celle qui la suit l’expérience qu’elle a acquise. Nous voyons avec effroi des idéologies meurtrières d’il y a à peine deux générations resurgir de nos jours, comme si l’humanité n’avait rien appris de leur poison. C’est que, comme le pense l’Ecclésiaste, l’oubli ensevelit ce qu’a vécu la génération précédente. C’est pourquoi il en sera de même après nous.

Fort de ce désir de laisser des traces, un disciple de Jésus lui fit un jour fièrement remarquer les belles pierres et les ornements qui faisaient la gloire du temple de Jérusalem. Symbole de ce que l’homme peut laisser comme marques sacrées de son passage. Jésus répondit : « Vois-tu ces grandes constructions ? Il ne restera pas pierre sur pierre qui ne soit renversée… » (Marc 13.1, 2)
Les œuvres humaines disparaîtront, érodées par le vent, rongées par l’air, anéanties par le fanatisme… C’est sûr ! Ce qui perdure ce n’est pas la trace, mais l’élan de l’audace créatrice. C’est pourquoi l’homme spirituel ne se soucie guère de laisser des traces. Ainsi, les paroles de l’Ecclésiaste ont la saveur de ces aliments qui, au premier contact, agacent les papilles gustatives puis, lentement, paisiblement, se mettent à dégager un parfum d’une bienfaisante douceur. Parce qu’il faut bien le reconnaître : cette course intrépide à la nouveauté est épuisante et ce besoin de marquer notre passage pour laisser des traces dans l’avenir nous prive de goûter à la simplicité et à la saveur de l’instant.
Pourquoi donc nous fatiguer à croire que seule la réalisation de la nouveauté dans notre existence offre des perspectives et du sens à la vie ? Pourquoi nous épuiser à démontrer qu’il n’y a que ce que nous laissons derrière nous qui donne raison à notre présent et à notre existence ?
Comme si nous devions absolument par ces démarches prouver et justifier notre place sous le soleil ! Vaine course, vain combat…Cessons de croire à la nécessité de croquer du nouveau pour que la vie ait de la saveur.
Quittons ce besoin fébrile et inquiet de laisser des traces de notre passage. Vivons plutôt les yeux grands ouverts sur notre présent. Cessons de voyager dans cette vie comme ces touristes qui traversent en car une somptueuse contrée de montagnes, de rivières, de lac… volets baissés ! Etrangers et aveugles au paysage qui défile. Leur seule préoccupation est de se chamailler afin de disposer de la place la plus confortable, celle qui est la plus en vue et qui reçoit les honneurs de la foule. Et c’est ainsi jusqu’à la fin du voyage.
Goûtons le bonheur simple de la contemplation, de la compagnie des amis, de l’éveil à la vie qui nous entoure.
Puis observons dans notre journée toutes nos actions qui sont polluées par le désir d’attirer l’attention, de recueillir l’approbation, le succès, la popularité, le pouvoir, l’admiration face à nos innovations. Toutes ces quêtes épuisantes pour la réussite, pour la célébrité, pour devenir quelqu’un.

Combien s’agitent autour de nous pour gagner le monde, la notoriété et la reconnaissance… et en souffrent, car leur vie est vide et sans âme. C’est à eux que Jésus dit : « A quoi servira-t-il à un être humain de gagner le monde entier, s’il perd son âme ? » (Matthieu 16.26)

 

Es-tu prêt à écouter ?

Es-tu prêt à écouter ?
« Le Seigneur m’a donné le langage des disciples pour que je sache soutenir par une parole celui qui est épuisé. Chaque matin il éveille, il éveille mon oreille pour que j’écoute à la manière des disciples. Le Seigneur, l’Eternel, m’a ouvert l’oreille et moi je ne me suis pas rebellé, je ne me suis pas dérobé »Esaïe 50:1,4
La grande question pour notre génération n’est pas de savoir si Dieu parle encore à l’humanité, mais si l’humanité est prête à écouter ce que Dieu dit. (Soit dis en passant, qu’on ne peut écouter Dieu s’il ne parle pas)  Nous les chrétiens croyons que la Bible est la Parole de Dieu. Nous croyons que Dieu parle encore à travers les pages de ce livre que nous appelons les Ecritures. (Livre écrit par des hommes) Nous trouvons alors ce passage dans le livre du prophète Esaïe au chapitre 50 et aux versets 4 et 5 Pour Esaïe, il est possible d’entendre Dieu nous parler. Il ne nous donne pas ici de technique d’écoute, il fait simplement remarquer qu’écouter Dieu est avant tout une grâce. C’est Dieu qui ouvre et éveille l’oreille de celui qui veut. Ecouter Dieu est une grâce. Pour Esaïe, il y a un temps pour écouter. Chaque jour, plus précisément chaque matin. Si on peut écouter le Seigneur à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, le matin semble être ici un espace privilégié pour l’écoute. Pour Esaïe il y a une manière d’écouter. Il convient de le faire comme un disciple écoute son Maitre. Le disciple est celui qui reçoit un enseignement et qui est prêt à le mettre en pratique. Le disciple suit l’exemple de son maitre, il adhère à sa vision et à sa pensée. Pour Esaïe il y a enfin un but. Le but de l’écoute est de pouvoir, nourri de la relation avec Dieu, soutenir par une parole celui qui est épuisé, celui qui a le cœur brisé. Cet extrait du livre d’Esaïe est tiré d’un passage prophétique qui annonce le ministère de Jésus-Christ lui- même. Il a pleinement accompli ce qu’a annoncé le prophète et il est aujourd’hui, pour nous, un exemple à suivre sans la moindre crainte. La grande question pour notre génération n’est pas de savoir si Dieu parle encore à l’humanité, mais si l’humanité est prête à écouter à la manière des disciples, sans se rebeller, pour soutenir par une parole, celui qui est épuisé. Nous pouvons adresser cette prière à Dieu : « Seigneur, puisses-tu chaque jour, chaque matin, ouvrir nos oreilles que nous puissions entendre ta douce voix nous enseigner à vivre à la manière des disciples de Jésus-Christ ».
 

samedi 25 mai 2013

Bonne fête des mères

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Poulet des îles

Poulet des îles
Une petite escapade dans les iles.
Ingrédients: 4 personnes 4 cuisses de poulet fermier
Ou 4 filets de poulet 1 boite de tomates en cube 2 gousses d'ail 1c a soupe de gingembre fraichement Râpée
1 citron vert 1 bouquet de coriandre fraiche 2c a soupe d'huile 2c a soupe de noix de coco râpée 2c à café de pâte de curry Sel
Préparation
Dans une cocotte, faire chauffer l'huile et y faire dorer les
Cuisses de poulet ou les blancs de poulet coupé en deux.
Quand la viande a bien doré, ajouter l'ail écrasé, le gingembre
Râpé la coriandre ciselé, la pâte de curry, la noix de coco râpé
Le jus et le zeste du citron vert, (moi, j’ai mis tout le citron.)
Bien mélanger pour que les épices ce mélange.
Ajouter la boite de tomate et la moitié de la boite en eau.
Saler, couvrez et laisser cuire 30mn environ sur feu doux.
Servir le poulet avec du riz nature.

Banane farcie des îles Wallis

 

Banane farcie des  îles Wallis 
(pour 2 personnes)-1 banane plantain verte-100g de porc haché (ou bœuf)-1 œuf-3 c à s de lait de coco, Quelques brins de ciboulette-sel, poivre-feuilles de bananier (facultatif)

Coupez la banane en 2 dans la longueur. Enlevez la chair avec une petite cuillère en faisant attention à ne pas abîmer la peau. Râpez la chair dans un saladier. Ajouter l'œuf entier, la viande hachée, la ciboulette ciselée et le lait de coco. Assaisonnez de sel et poivre, puis mélangez. Remplissez les 1/2 coques avec cette farce et enveloppez les dans des feuilles de bananier (préalablement assouplies en les passants au-dessus d'une flamme) ou du papier sulfurisé. Fermez ces extrémités avec des cure-dents. Faites cuire à la vapeur pendant 45 minutes. 
A déguster en rondelles, à l'aide des petits cure-dents qui ont servi à fermer les paquets.