La nostalgie du temps passé
Ou est-il donc ce temps merveilleux de notre enfance,
celui ou nous allions avec des copains et des copines cueillir des fleurs au
bord des petits ruisseaux de notre beau pays qu’est la France ? C’était le
temps des fleurs, le temps du bonheur, des lendemains avec un goût de miel. Le
temps merveilleux ou, sur le chemin de l’école, nous égayâmes notre vie en jouant aux billes ou à colin Maillard,
à chat perché, ce temps ou le jeudi après-midi comme de vaillants scouts, avec
notre curé de campagne, nous parcourions des chemins de traversent, dans les
bois, à la recherche d’un pseudo trésor. Nous longions les abords d’un ruisseau
pour cueillir au passage quelques Jonquilles de couleur jaune éclatante, regardant
dans l’eau limpide du ruisseau, de petites écrevisses s’éparpillant devant nos
yeux d’enfants. Le fait de penser à tout cela me rappel que la vie est courte
et que nos plus belles années sont celles de notre enfance. Notre école se
trouvant à 7 kms de chez-nous, dans un petit village du nom de La Lucette, (Département
de la Mayenne), dans ce temps là, il n’existait pas de Bus servant à
transporter les enfants à l’école, nous y allions à pieds, avec nos livres et
cahiers sous le bras. Ont partaient de bonne heure, afin de ne pas êtres en
retard en classe. A midi, nous mangions chez la bonne du curé, elle nous
préparait de la soupe à l’oignon, elle nous faisait chanter un cantique de son
répertoire qui se terminait par une petite prière, dans le genre, notre Père
qui est aux cieux, ou je vous salue Marie pleine de grâce. Lors de notre
trajet, le long du chemin, il nous arrivait de nous amuser, en visant quelques
lézards sur des rochers, nous nous aperçûmes alors que lorsqu’ils avaient la
queue coupée, ils mourraient. En effet, leur vie ne pouvait existée sans qu’il
ait leur queue, ont s’amusaient à leur lancer des cailloux, c’était des
amusements de gosses. Ce temps à bien changé, désormais ses jeux saints et
enfantins sont remplacés par des jeux électroniques, qui, programmés d’avance, reflètent
en général des scènes de violences. Depuis plus de 50 ans, notre société, nos
gouvernants, par leurs façons de concevoir la vie, et l’éducation des enfants, à
engendrer des enfants rebelles, des voyous, des pommés, bref, des jeunes qui
ont perdu le sens de ce qui est juste et beau, et cela est bien triste ! Dans
ce temps-là, les organisations d’aide à l’emploi n’existaient pas, les jeunes
hommes trouvaient facilement du travail, quant aux jeunes filles, elles s’attardaient
à la maison en compagnie de leur mère, pour apprendre les tâches qui leur
incombaient, c'est-à-dire, la couture, apprendre à faire la cuisine, laver le
linge à la main ou au ruisseau du village, pour ne citer que cela. Que
voyons-nous maintenant ? Pour ce qui concerne les jeunes filles, il est
courant de constater, qu’ayant de mauvaises fréquentations au Lycée, ou au Collège,
elles « tournent » mal et ce
retrouvent parfois enceintes, sans comprendre de quoi il retourne. Il faut dire
que leurs parents ayant eux-mêmes reçus une mauvaise éducation en la matière, sont
plutôt mal placés pour éduquer convenablement leurs enfants. Voila, mes amis,
ce qu’il est advenue de notre
civilisation, dite progressiste. (Le changement c’est maintenant), C’est aujourd'hui,
avec des gouvernements successifs, et la mauvaise éducation du « laissez-faire »,
qu’il nous faut bien constater que notre monde est en péril et qu’il se dirige
vers la catastrophe, pas seulement en France, mais aussi à l’échelle planétaire.
Massey Josué
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