mercredi 15 janvier 2014

Tuiles aux amandes


Tuiles aux amandes

Ingrédients, pour 6 personnes: 125 g de poudre d’amandes 150 g de sucre en poudre 1 c à café de fécule 1 c à café de sucre vanillé 2 blancs d’œufs

1 jaune d’œuf 50 g d’amandes effilées

Préchauffez le four à 130°C, thermostat 4.
Préparation :

Dans un saladier, mélangez intimement la poudre d’amandes, la fécule, le sucre et 1 blanc d’œuf.

Quand le mélange est bien crémeux, ajoutez le jaune d’œuf et le dernier blanc d’œuf.

La pâte doit être assez molle et pouvoir s’étaler facilement. Beurrez une tôle à pâtisserie ou recouvrez-la d’un papier de cuisson.

Déposez dessus des petites cuillerées e pâte, aplatissez-les et saupoudrez-les d’amandes effilées.

Enfournez pour 5 minutes de cuisson.

A la sortie du four, quand elles sont encore chaudes, donnez-leur une forme ronde sur un rouleau à pâtisserie. Bon appétit !

 

jeudi 9 janvier 2014

Gambas et crevettes au chorizo


Gambas et crevettes au chorizo

Ingrédients pour 6 personnes-une dose de safran pur en poudre-1 chorizo à cuire ou 1/3 de chorizo classique

1 petit verre de cognac-1/2 bouteille de vin blanc

1 boite de gambas surgelées-1 bol de petites crevettes décortiquées surgelées-1 livre de moules de Noirmoutier 400g de filet de porc 4 oignons 4 échalotes

4 gousses d'ail Quelques feuilles de laurier une pincée de paprika 5 tomates fraîches pelées 2 poivrons rouges frais pelés 1 petite boite de concentré de tomate huile d'olive

Préparation

Dans une cocotte, ou une cataplana, plongez dans un filet d'huile d'olive bien chaude les oignons émincés. Ajoutez les échalotes émincées. Laissez dorer. Retirez du feu.  Ajoutez dans la cataplana à feu moyen le porc découpé en petits morceaux, avec le chorizo coupé en tranches, puis chaque tranche en quatre.
Ajoutez le poivron rouge coupé en petits dés, l'ail, les tomates coupées en petits morceaux. Versez le mélange oignon-échalote-oignon-échalote, le laurier, le paprika, le safran, le concentré de tomate, les crevettes décortiquées, le cognac et le vin blanc. Laissez mijoter à feu doux une heure. Versez les moules et ajoutez les gambas. Laissez mijoter une heure à feu doux.
Vous pouvez laisser mijoter encore plus longtemps pour avoir un aspect "confit", mais deux heures suffisent. Ce plat peut se faire en avance: il est encore meilleur réchauffé, avec une jolie Nana à ses cotés !

 

Confiture de figues


Bonjour, cette année encore nous avons bénéficié d’un temps clément qui à permis au figuier de continuer à produire de belles figues sucrées. Une fois de plus, j’ai préparé ma confiture dont je ne me lasse pas. La vanille apporte douceur et délicatesse à cette préparation. J’étais ravie de la couleur de ma confiture qui la rend encore plus gourmande.

Confiture de figues

Ingrédients- 1 kg de figues fraîches- 500 g de sucre cristallisé- 1 gousse de vanille des îles- 1 verre d’eau- jus d’1/2 citron

Préparation

Lavez et essuyez les figues. Retirez la queue des figues et coupez-les en deux. Mettre les figues dans une bassine à confiture. Versez l’eau, le sucre cristal, le citron et la gousse de vanille fendue dans le sens de la longueur. Mélangez bien et laissez macérer 1 heure.

Mettre à cuire à feu moyen jusqu’à frémissement. Retirez l’écume à la surface chaque fois que nécessaire et laissez cuire environ 30-40 minutes environ. Vérifiez la cuisson en laissant refroidir une cuillère de confiture dans une assiette. Elle doit se figer sinon poursuivre la cuisson.

Retirez la gousse de vanille. Versez 1/3 de confiture dans un saladier et mixez. Remettre dans la marmite et mélangez.

Versez la confiture encore chaude dans les bocaux stérilisés. Fermez et retournez les pots jusqu’à complet refroidissement

Rose-May du Tampon (97430)

 

mardi 7 janvier 2014

La nostalgie du temps passé


La nostalgie du temps passé

Ou est-il donc ce temps merveilleux de notre enfance, celui ou nous allions avec des copains et des copines cueillir des fleurs au bord des petits ruisseaux de notre beau pays qu’est la France ? C’était le temps des fleurs, le temps du bonheur, des lendemains avec un goût de miel. Le temps merveilleux ou, sur le chemin de l’école, nous égayâmes  notre vie en jouant aux billes ou à colin Maillard, à chat perché, ce temps ou le jeudi après-midi comme de vaillants scouts, avec notre curé de campagne, nous parcourions des chemins de traversent, dans les bois, à la recherche d’un pseudo trésor. Nous longions les abords d’un ruisseau pour cueillir au passage quelques Jonquilles de couleur jaune éclatante, regardant dans l’eau limpide du ruisseau, de petites écrevisses s’éparpillant devant nos yeux d’enfants. Le fait de penser à tout cela me rappel que la vie est courte et que nos plus belles années sont celles de notre enfance. Notre école se trouvant à 7 kms de chez-nous, dans un petit village du nom de La Lucette, (Département de la Mayenne), dans ce temps là, il n’existait pas de Bus servant à transporter les enfants à l’école, nous y allions à pieds, avec nos livres et cahiers sous le bras. Ont partaient de bonne heure, afin de ne pas êtres en retard en classe. A midi, nous mangions chez la bonne du curé, elle nous préparait de la soupe à l’oignon, elle nous faisait chanter un cantique de son répertoire qui se terminait par une petite prière, dans le genre, notre Père qui est aux cieux, ou je vous salue Marie pleine de grâce. Lors de notre trajet, le long du chemin, il nous arrivait de nous amuser, en visant quelques lézards sur des rochers, nous nous aperçûmes alors que lorsqu’ils avaient la queue coupée, ils mourraient. En effet, leur vie ne pouvait existée sans qu’il ait leur queue, ont s’amusaient à leur lancer des cailloux, c’était des amusements de gosses. Ce temps à bien changé, désormais ses jeux saints et enfantins sont remplacés par des jeux électroniques, qui, programmés d’avance, reflètent en général des scènes de violences. Depuis plus de 50 ans, notre société, nos gouvernants, par leurs façons de concevoir la vie, et l’éducation des enfants, à engendrer des enfants rebelles, des voyous, des pommés, bref, des jeunes qui ont perdu le sens de ce qui est juste et beau, et cela est bien triste ! Dans ce temps-là, les organisations d’aide à l’emploi n’existaient pas, les jeunes hommes trouvaient facilement du travail, quant aux jeunes filles, elles s’attardaient à la maison en compagnie de leur mère, pour apprendre les tâches qui leur incombaient, c'est-à-dire, la couture, apprendre à faire la cuisine, laver le linge à la main ou au ruisseau du village, pour ne citer que cela. Que voyons-nous maintenant ? Pour ce qui concerne les jeunes filles, il est courant de constater, qu’ayant de mauvaises fréquentations au Lycée, ou au Collège,  elles « tournent » mal et ce retrouvent parfois enceintes, sans comprendre de quoi il retourne. Il faut dire que leurs parents ayant eux-mêmes reçus une mauvaise éducation en la matière, sont plutôt mal placés pour éduquer convenablement leurs enfants. Voila, mes amis, ce qu’il est advenue  de notre civilisation, dite progressiste. (Le changement c’est maintenant), C’est aujourd'hui, avec des gouvernements successifs, et la mauvaise éducation du « laissez-faire », qu’il nous faut bien constater que notre monde est en péril et qu’il se dirige vers la catastrophe, pas seulement en France, mais aussi à l’échelle planétaire.

 Massey Josué