jeudi 29 septembre 2016

Pansement de fortune









Ils ont pansés la plaie… de mon peuple légèrement, disant: Paix, paix! Et il n'y avait pas de paix.
Jérémie 6. 14
L'Éternel… c'est lui qui guérit ceux qui ont le cœur brisé, et qui bande leurs plaies.
Psaume 147. 2, 3
Pansement de fortune
C'est la fin de la journée, le tranchant d'un outil me blesse profondément. Je suis pressé; un bandage rapide devrait suffire à protéger la plaie… Mais bientôt l'infection est là et se propage sous ce pansement de fortune.
Il en est souvent ainsi dans le domaine spirituel. La plaie suggère le péché qui nous atteint tous. On peut la pensée légèrement en essayant de se discipliner et de choisir de meilleures orientations. On peut aussi faire confiance à une religion promettant une paix qui repose sur les différents credo de prétendus chefs religieux. On peut encore s'efforcer d'oublier le problème, comme un pansement cache une blessure.
Mais le prophète Jérémie conclut: “Il n'y avait pas de paix”. Le remède est même pire que le mal, il favorise la propagation de l'infection. On se persuade peut-être que tout finira par s'arranger: “Voyons! je ne suis pas plus mauvais qu'un autre; le bon Dieu finira bien par me sauver”. Cette attitude a le gros inconvénient d'être en opposition avec ce que déclare la Parole de Dieu: celui “qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui” (Jean 3. 36). Le seul moyen d'être guéri, sauvé, c'est de placer sa confiance en Jésus Christ, divin médecin de l'âme. “Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité” (1 Jean 1. 9). “C'est lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes infirmités”(Psaume 103. 3).








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