Croyant en lui (Jésus),… vous vous réjouissez d'une joie ineffable et
glorieuse.
1 Pierre 1. 8
Le visage de la joie en Christ
Le
christianisme, dès sa naissance, a été la proclamation de la joie. “Je vous
annonce une bonne nouvelle, un grand sujet de joie…: Aujourd'hui, dans la cité
de David, vous est né un sauveur, qui est le Christ, le Seigneur”, dit l'ange
aux bergers, en leur annonçant la naissance du Christ (Luc 2.
10, 11).
Tout
au long des évangiles on trouve la mention de la joie: Zachée “descendit et le
reçut avec joie” (Luc 19. 6). C'est la joie d'avoir rencontré le
Seigneur, de sentir l'amour de Dieu, cet amour qui peut transformer toute la
vie et apporter le salut.
Le
matin de la résurrection, plusieurs femmes sont venues voir le tombeau où Jésus
avait été déposé après sa mort. Elles ont reçu d'un ange l'annonce
bouleversante de sa résurrection, puis “avec crainte et une grande
joie” (Matthieu 28. 8), elles ont couru apporter l'heureuse nouvelle
aux disciples.
Avant
son ascension, Jésus vient assurer ses disciples de sa présence spirituelle
avec eux: “Moi je suis avec vous tous les jours, jusqu'à l'achèvement du
siècle” (Matthieu 28. 20). Ils gardent par la foi le souvenir du
visage du Christ ressuscité, après les terribles souffrances de la crucifixion;
quelle joie! Joie de la délivrance, joie de l'amour vainqueur du mal, du péché
et de la mort.
L'évangile
se termine par cette mention de la joie, après l'ascension au ciel du Christ
ressuscité: Les disciples “s'en retournèrent à Jérusalem avec une grande joie.
Et ils étaient continuellement dans le temple, louant et bénissant
Dieu” (Luc 24. 52, 53).
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