Hitler avait-il un sosie ?
Pendant longtemps, de nombreuses théories
ont circulées sur la mort d'Hitler. A-t-il réellement trouvé la mort dans son
bunker où s'est-il enfui? Staline en personne aurait déclaré à Truman en
juillet 1945 qu'Hitler était certainement encore vivant et qu'il se cachait.
Cette déclaration aboutit à de nombreuses enquêtes. Au cœur des suspicions :
l'absence de photo du cadavre et du manque de preuves matérielles concrètes.
Une photo notamment sème le doute: celle
d'un sosie du Führer, retrouvé mort dans un bassin du bunker. Dans un premier
temps, la photo est diffusée comme étant celle du dictateur. Mais rapidement,
il est démontré qu'il s'agit en réalité de Gustav Weler, un sosie. Hitler
a-t-il voulu faire croire à sa propre mort en tuant son double? Aucune
photographie n'existe du dictateur mort, alors qu'il existe des photos et des
vidéos des cadavres des époux Goebbels qui se sont suicidés eux aussi dans le
bunker.
Finalement, il est révélé qu'Hitler s'est
tiré une balle dans la tête et que sa compagne Eva Braun a absorbé du cyanure.
Sur les ordres du chef du troisième Reich, sa garde rapprochée l'aurait, Eva
Braun et lui, brûlés et enterrés, à trois mètres de la porte du bunker. Des
restes humains sont retrouvés et une autopsie ordonnée. Elle conclut que les
cadavres sont bien ceux du couple. En 1956, les magistrats allemands déclarent
qu'Hitler est officiellement mort le 30 avril 1945 dans son bunker de Berlin,
rejoignant ainsi les conclusions des fédéraux américains. La photo de son crâne
est publiée. En 2009, des chercheurs américains assurent toutefois, expertise
ADN à l'appui, que le crâne dont la photo a été diffusée par les autorités
soviétiques appartient en réalité à une femme, à l'identité inconnue
Si aujourd'hui on est certain de la mort
du dictateur du III reich est certaine (il aurait 119 ans...), il n'en fut pas
de même de nombreuses années après la guerre et alors que le monde entier le
proclamait mort. Comme vous allez pouvoir le constater, il existe différentes
théories, certaines étant pour le moins farfelues, d'autres étant tout à fait
possibles, le régime Nazi n'étant pas à une superchechie près et aurait très
bien pu monter une discrète opération d'évasion de son chef
Si la conclusion de ce rapport confirme
la mort d’Hitler le 30 Avril 1945 (vers 15 h 30), il montre néanmoins de
nombreuses zones d'ombre et quelques contradictions que voici :
- Staline en personne aurait déclaré à Truman en Juillet 1945 qu’Hitler était certainement encore vivant et qu'il se cachait. Cette déclaration aboutira à de nombreuses enquêtes.
Tout d'abord celle du major Roper du renseignement de Sa Majesté s'étonne qu'il n'existe aucune photographie du cadavre d'Hitler alors qu'il existe des photos et même des vidéos des cadavres des époux Goebbels et que le N°2 du Reich, Goering fut pris en photo une fois son cadavre retrouvé après son suicide.
De nombreuses personnes prétendent avoir aperçu, vu ou même parlé au dictateur après sa soi-disant mort.
- Staline en personne aurait déclaré à Truman en Juillet 1945 qu’Hitler était certainement encore vivant et qu'il se cachait. Cette déclaration aboutira à de nombreuses enquêtes.
Tout d'abord celle du major Roper du renseignement de Sa Majesté s'étonne qu'il n'existe aucune photographie du cadavre d'Hitler alors qu'il existe des photos et même des vidéos des cadavres des époux Goebbels et que le N°2 du Reich, Goering fut pris en photo une fois son cadavre retrouvé après son suicide.
De nombreuses personnes prétendent avoir aperçu, vu ou même parlé au dictateur après sa soi-disant mort.
Parmi les nombreuses lettres que le FBI
réceptionne, certaines proviennent à l’évidence de déséquilibrés. Ainsi un
homme de 77 ans raconte avoir lu une lettre écrite par Hitler en 1947, soit
deux ans après son présumé suicide, dans laquelle l’ex-dictateur se moque des naïfs
qui croient à son décès. L’enquête démontre qu’il s’agit du délire d’un
psychotique ayant seulement voulu faire sensation. En 1948, une dame aperçoit
Hitler dans sa pension de famille et s’inquiète auprès des autorités des
poursuites judiciaires qu’elle encourt du fait de son éventuelle complicité.
Conclusion du FBI : « Elle est manifestement folle. » Blagueurs ou citoyens
trop suspicieux, certains ont vu Hitler dîner à Washington en 1946 ; sauter
dans un train pour La Nouvelle-Orléans en 1948 ; acheter des terres dans le
Colorado ; ou encore s’installer comme maître d’hôtel à Londres.
Le 15 octobre 1945, un détective amateur, peu
rompu aux exigences de l’administration de la preuve, fait le pari qu’Hitler
s’est réfugié à New York, ajoutant : « Il n’existe aucune autre ville au monde
où il peut être absorbé si facilement... Je vous donne l’information pour ce
qu’elle vaut, évidemment. » Pendant ce temps, un autre limier connaisseur le
situe dans une ferme isolée de la Suisse allemande. En 1951, un informateur
prétend que Hitler a changé de visage grâce à la chirurgie plastique (détail
récurrent chez les correspondants du FBI) et ressemble dorénavant « davantage à
un Juif qu’à un Gentil ». Le même mouchard croit que le dictateur a travaillé
dans une cafétéria de Miami.
Tout cela est bien fantaisiste mais le FBI vérifiera à chaque fois si ces témoignages sont plausibles...
Tout cela est bien fantaisiste mais le FBI vérifiera à chaque fois si ces témoignages sont plausibles...
Cependant certaines rumeurs paraissent tenir la
corde :
Un médecin prétend par exemple avoir soigné Hitler à Saint Louis pour un désordre intestinal. Or, d’après les dossiers médicaux d’Hitler que le FBI s’est procuré, celui-ci a réellement souffert de troubles digestifs. De plus, l’information n’a pas été diffusée au public à cette époque.
Un médecin prétend par exemple avoir soigné Hitler à Saint Louis pour un désordre intestinal. Or, d’après les dossiers médicaux d’Hitler que le FBI s’est procuré, celui-ci a réellement souffert de troubles digestifs. De plus, l’information n’a pas été diffusée au public à cette époque.
Le lieu d’accueil le plus crédible du Führer est
l’Amérique du Sud, une contrée devenue après guerre le paradis des anciens
nazis en cavale. Selon El Tempo, un journal publié en Colombie, Hitler s’est
échappé avec six hommes habillés en civil dans un sous-marin en partance pour
Bogotá. Attendus par des Indiens Goajiros, les exilés, voyageant de nuit, sont
arrivés dans le petit port de Magdalena, d’où ils ont pris un cargo en
troisième classe, puis une voiture qui s’est dirigée vers Bogotá, ne faisant
jamais halte dans le moindre hôtel. D’après l’informateur, qui signe « Amigo,
amigo, amigo » (et n’oublie pas au passage de demander 50 000 dollars pour
donner davantage de précisions), Hitler porte des lunettes et s’est laissé pousser
la barbe.
Le 10 mai 1945, un porte-parole de l'état major de l'armée rouge cantonné dans les ruines de Berlin déclarait péremptoirement aux journalistes Alliés accourus de toutes parts : "Aucun cadavre n'a pu être identifié comme étant celui de Hitler." Le 26 du même mois, Staline en personne affirmait à Harry Hopkins (qui fut l'éminence grise de Roosevelt au cours de la guerre) : "Hitler s'est échappé, et se cache". Il réitérait le 6 juin, disant devant le même interlocuteur : "Je suis persuadé que Hitler est vivant". Le 9 juin, au cours d'une conférence de presse, le maréchal Joukov (chef des troupes d'occupation en Allemagne) renchérissait : "Nous n'avons pas identifié le corps de Hitler, lequel peut s'être envolé de Berlin au dernier moment. L'état de la piste lui permettait de le faire." Le maréchal Joukov appelait "piste" la célèbre avenue Berlinoise Unter Den Linden sur laquelle le pilote Jürgen Bosser avait réussi le 26 avril précédent, par un tour de force, à poser sans dommage un Arado-96, qui avait à son bord le générale Ritter Von Greim. Le général était accompagné de sa maîtresse, le chef d'escadrille Hanna Reitisch, insurpassable virtuose de la navigation en planeur. Après avoir séjourné au bunker jusqu'au 29 avril, Von Greim et sa maîtresse réussirent à quitté Berlin comme ils y étaient venus et, à en croire le maréchal Joukov, le lendemain lundi 30, "Un petit avion décollait à l'aube du Tiergaten (avenue du jardin zoologique) avec trois hommes et une femme à son bord". Joukov ajoutait : "Il est également établi de façon irréfutable qu'un sous-marin a quitté Hambourg avant l'arrivée des troupes Britanniques, emmenant plusieurs passagers dont une femme". L'hypothèse du départ d'Hitler et d'Eva Braun à bord de ce petit avion qui, selon le maréchal Joukov, aurait décollé du Tiergaten à l'aube de ce lundi 30 avril 1945 est contredite par les témoignages concordants des infirmières du bunker, rapportés par Roger Depley : elles furent toutes supposes, le mardi 1er mai, à 22h30 du matin, d'apprendre qu'Hitler désirait leur faire ses adieux, car elles le croyaient parti depuis plusieurs jours pour une destination inconnue. Hitler les reçut en compagnie du professeur Strumpfegger, son chirurgien particulier. Ce même témoignage collectif infirme du même coup toutes les déclarations aux termes desquelles Hitler se serait donné la mort le 30 avril. En revanche, l'hypothèse de l'appareillage d'un sous-marin de longue croisière dans le port de Hambourg entre le matin du mardi 1er mai et l'aube du vendredi 4 pourrait éventuellement être retenue, la deuxième armée Britannique n'ayant fait son entrée dans la ville qu'au cours de la journée du 4. Dès le 9 juin, 1945, les Soviétiques avaient laissé entendre à des officiers alliés par la bouche du colonel-général Berzarine qu'il se pouvait bien qu'Hitler eût cherché refuge en Espagne, se mettant sous la protection du général Franco. Conversant le lendemain avec le général Eisenhower, Joukov affirmait : "Nos soldats n'ont trouvé aucune trace du cadavre d’Hitler". Le 17 juillet, recevant le secrétaire d'Etats Américain James Byrnes, Staline insistait : "Les recherches minutieuses de nos enquêteurs n'ont pas permis de trouver des traces des restes d’Hitler, et pas d'avantage une preuve positive de sa mort." Allant plus loin, les sept membres de cette commission d'enquête concluaient leur rapport par cette affirmation : "Hitler n'est pas mort, il a fui".
Le 10 mai 1945, un porte-parole de l'état major de l'armée rouge cantonné dans les ruines de Berlin déclarait péremptoirement aux journalistes Alliés accourus de toutes parts : "Aucun cadavre n'a pu être identifié comme étant celui de Hitler." Le 26 du même mois, Staline en personne affirmait à Harry Hopkins (qui fut l'éminence grise de Roosevelt au cours de la guerre) : "Hitler s'est échappé, et se cache". Il réitérait le 6 juin, disant devant le même interlocuteur : "Je suis persuadé que Hitler est vivant". Le 9 juin, au cours d'une conférence de presse, le maréchal Joukov (chef des troupes d'occupation en Allemagne) renchérissait : "Nous n'avons pas identifié le corps de Hitler, lequel peut s'être envolé de Berlin au dernier moment. L'état de la piste lui permettait de le faire." Le maréchal Joukov appelait "piste" la célèbre avenue Berlinoise Unter Den Linden sur laquelle le pilote Jürgen Bosser avait réussi le 26 avril précédent, par un tour de force, à poser sans dommage un Arado-96, qui avait à son bord le générale Ritter Von Greim. Le général était accompagné de sa maîtresse, le chef d'escadrille Hanna Reitisch, insurpassable virtuose de la navigation en planeur. Après avoir séjourné au bunker jusqu'au 29 avril, Von Greim et sa maîtresse réussirent à quitté Berlin comme ils y étaient venus et, à en croire le maréchal Joukov, le lendemain lundi 30, "Un petit avion décollait à l'aube du Tiergaten (avenue du jardin zoologique) avec trois hommes et une femme à son bord". Joukov ajoutait : "Il est également établi de façon irréfutable qu'un sous-marin a quitté Hambourg avant l'arrivée des troupes Britanniques, emmenant plusieurs passagers dont une femme". L'hypothèse du départ d'Hitler et d'Eva Braun à bord de ce petit avion qui, selon le maréchal Joukov, aurait décollé du Tiergaten à l'aube de ce lundi 30 avril 1945 est contredite par les témoignages concordants des infirmières du bunker, rapportés par Roger Depley : elles furent toutes supposes, le mardi 1er mai, à 22h30 du matin, d'apprendre qu'Hitler désirait leur faire ses adieux, car elles le croyaient parti depuis plusieurs jours pour une destination inconnue. Hitler les reçut en compagnie du professeur Strumpfegger, son chirurgien particulier. Ce même témoignage collectif infirme du même coup toutes les déclarations aux termes desquelles Hitler se serait donné la mort le 30 avril. En revanche, l'hypothèse de l'appareillage d'un sous-marin de longue croisière dans le port de Hambourg entre le matin du mardi 1er mai et l'aube du vendredi 4 pourrait éventuellement être retenue, la deuxième armée Britannique n'ayant fait son entrée dans la ville qu'au cours de la journée du 4. Dès le 9 juin, 1945, les Soviétiques avaient laissé entendre à des officiers alliés par la bouche du colonel-général Berzarine qu'il se pouvait bien qu'Hitler eût cherché refuge en Espagne, se mettant sous la protection du général Franco. Conversant le lendemain avec le général Eisenhower, Joukov affirmait : "Nos soldats n'ont trouvé aucune trace du cadavre d’Hitler". Le 17 juillet, recevant le secrétaire d'Etats Américain James Byrnes, Staline insistait : "Les recherches minutieuses de nos enquêteurs n'ont pas permis de trouver des traces des restes d’Hitler, et pas d'avantage une preuve positive de sa mort." Allant plus loin, les sept membres de cette commission d'enquête concluaient leur rapport par cette affirmation : "Hitler n'est pas mort, il a fui".
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