L'exode
: de la zone Nord à la zone Sud
De 1940 à 1943
Pendant
la Seconde Guerre mondiale, les Français s’exilent vers le sud de la France.
D'abord, il y le grand exode en mai 1940 puis tout au long de la guerre.
L’occupant fait peur aux Français ce qui les pousse à partir.
La perte
de la guerre par les troupes française et l’envahissement de la France par les
Allemands, poussent les Français, du Nord de la France, à s’exiler. Entre sept
à huit millions de Français quittent tous : maisons, travails…, pour aller dans
le Sud de la France où ils se croient en sécurité. Le chemin est très long et
pénible. Ils doivent finir à pied, car les routes sont trop encombrées. De
plus, les Allemands bombardent les routes où sont regroupés les Français en
exil. La peur fait courir les gens vers les bois. Ils se réfugient dans les
fermes des campagnes, elles aussi attaquées systématiquement. Des grappes de
civils aux visages épuisés quittent les carrefours, abandonnant leurs brouettes
et leurs chars à bancs, ils se cachent derrière les moindres taillis, se
jettent dans les fossés dès qu’ils entendent le bruit de sirène des avions stukas
en piqué.
Les militaires se rendent aux premiers véhicules allemands qui surgissent, noirs de poussière. Regroupés hâtivement, ils partent à pied, sans gardiens, en troupeau, sans savoir où ils vont, prenant à rebours la route des chars, aidant quelquefois les Allemands à dégager la route, en poussant les véhicules français dans les fossés.
Ce n’est pas seulement les Français qui fuient. Les juifs, Français, s’exilent aussi parce qu’ils sont menacés. Ils savent que les Allemands les persécutent, pour cela ils vont dans la zone qui n’est pas occupée par ces derniers : la zone libre dirigée, par Pétain. Ils ne peuvent pas utiliser le train, car les Allemands surveillent les lignes. Certains prennent ce risque, car ils ont de faux papiers, ce qui leur permet de ne pas se faire arrêter par la police allemande, mais si le contrôleur remarque que la pièce d’identité est fausse alors la personne est arrêtée et risque d’être envoyée dans les camps de concentration. Certains passent la frontière de la zone libre à pied avec un passeur. Le problème c’est que ça coût très cher, en plus ils peuvent être arrêté à n'importe quels moments de la traversé. De nombreux juifs ont recours à cette méthode de traversée, pour aller vers la liberté.
Les militaires se rendent aux premiers véhicules allemands qui surgissent, noirs de poussière. Regroupés hâtivement, ils partent à pied, sans gardiens, en troupeau, sans savoir où ils vont, prenant à rebours la route des chars, aidant quelquefois les Allemands à dégager la route, en poussant les véhicules français dans les fossés.
Ce n’est pas seulement les Français qui fuient. Les juifs, Français, s’exilent aussi parce qu’ils sont menacés. Ils savent que les Allemands les persécutent, pour cela ils vont dans la zone qui n’est pas occupée par ces derniers : la zone libre dirigée, par Pétain. Ils ne peuvent pas utiliser le train, car les Allemands surveillent les lignes. Certains prennent ce risque, car ils ont de faux papiers, ce qui leur permet de ne pas se faire arrêter par la police allemande, mais si le contrôleur remarque que la pièce d’identité est fausse alors la personne est arrêtée et risque d’être envoyée dans les camps de concentration. Certains passent la frontière de la zone libre à pied avec un passeur. Le problème c’est que ça coût très cher, en plus ils peuvent être arrêté à n'importe quels moments de la traversé. De nombreux juifs ont recours à cette méthode de traversée, pour aller vers la liberté.
Certains
Français vont aussi faire cette traversée pendant la guerre, mais contrairement
aux juifs, ils ne sont pas clandestins. Ils ont le droit de se déplacer, mais
c’est quand même risqué. Car, parfois les Allemands arrêtent des Français, sans
raisons.
La fuite des grandes villes vers
la campagne
Sur cette photographie, nous
pouvons voir l’exode en direction de l'Ouest des Parisiens face à l'avancée des
troupes allemandes, en juin 1940. 5 millions de personnes fuirent leur foyer
pour échapper à l'envahisseur, et 2 millions quittèrent la région de Paris. En
quelques jours, par exemple, le XIVe arrondissement de la capitale perdit 129
000 de ses 178 000 habitants.
Dans l’œuvre de Marie Chaix, Juliette chemin des cerisiers, on peut se rendre compte qu’à la campagne, les conditions de vie étaient difficiles. En effet, dans ce livre, une famille va habiter chez la mère d’une domestique durant cette période. Ils habitent à plusieurs dans un espace réduit, doivent se partager une faible quantité d’alimentation, et cela pour échapper au danger des grandes villes et pour pouvoir survire dans des lieux souvent plus sûrs
Dans l’œuvre de Marie Chaix, Juliette chemin des cerisiers, on peut se rendre compte qu’à la campagne, les conditions de vie étaient difficiles. En effet, dans ce livre, une famille va habiter chez la mère d’une domestique durant cette période. Ils habitent à plusieurs dans un espace réduit, doivent se partager une faible quantité d’alimentation, et cela pour échapper au danger des grandes villes et pour pouvoir survire dans des lieux souvent plus sûrs
Romano
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