A quoi servent toutes les festivités de noël ?
Le réveillon de Noël en Allemagne est très festif et surtout très gourmand. C'est ce qui lui vaut son surnom de "réveillon du ventre plein" ou Vollbauchabend.
Longtemps, le porc a trôné comme plat principal de ce repas familial, tradition en souvenir du sanglier jadis sacrifié au dieu germain de la guerre, Wotan. De nombreux gâteaux et pains sucrés sont confectionnés en forme de cochon pour Noël.
Aujourd'hui, plus que la dinde, c'est l'oie rôtie ou farcie qui est cuisinée, accompagnée de fruits et légumes épicés et précédée de charcuteries et autres saucissons grillés.
Une des coutumes culinaires allemandes pour Noël consiste à préparer la maison d'une sorcière composée de gâteaux et de friandises, ressemblant à celle du conte d'Anderson "Hansel et Gretel".
Tout au long du mois de décembre, les Allemands sont aux fourneaux pour réaliser de délicieux petits sablés, en forme d'étoiles, de sapins ou de pères Noël, qui exhalent des parfums de cannelle, d'anis, de cardamome, de clous de girofle ou de vanille. Les enfants qui aident les parents à la préparation, découpent la pâte à l'aide de formes, et les décorent avec du sucre glace ou en passant une couche de chocolat fondu dessus.
Le Christstollen est le gâteau traditionnel de Noël, l'équivalent de notre bûche. Originaire de Dresde, il a une forme de pain allongé et la consistance d'un cake. Il contient des fruits confits, des raisins secs, des épices, du rhum, de la pâte d'amande, le tout recouvert de sucre glace. La forme de ce gâteau, qui date du Moyen-âge, représente le Christ enfant dans ses langes. Tout cela est bien joli, mais a part la fête commerciale que cela induit, ou est le Christ dans tout ça ? Il est nul-part ! E effet, il ne peut se trouver dans une Bûche de Noël ou dans une tarte aux abricots. Il est mort il y à plus de deux milles ans dans des conditions horribles et, jusqu’à ce jour, il n’à plus donner signe de vie ? Bof ! Certains diront, ce qui compte c’est qu’on s’en mette plein la gueule, qu’ont boivent, qu’ont dansent, bref, qu’ont festoient et que l’ont soient joyeux. Tempi si, dans d’autres pays, surtout en Afrique, des peuplades entières crèvent de faim. Personnellement je ne fête pas Noël ; car Jésus à dit que c’est seulement le jour de sa mort dont il fallait se souvenir. Mais les coutumes humaines sont-là, plus tenaces que jamais !
Longtemps, le porc a trôné comme plat principal de ce repas familial, tradition en souvenir du sanglier jadis sacrifié au dieu germain de la guerre, Wotan. De nombreux gâteaux et pains sucrés sont confectionnés en forme de cochon pour Noël.
Aujourd'hui, plus que la dinde, c'est l'oie rôtie ou farcie qui est cuisinée, accompagnée de fruits et légumes épicés et précédée de charcuteries et autres saucissons grillés.
Une des coutumes culinaires allemandes pour Noël consiste à préparer la maison d'une sorcière composée de gâteaux et de friandises, ressemblant à celle du conte d'Anderson "Hansel et Gretel".
Tout au long du mois de décembre, les Allemands sont aux fourneaux pour réaliser de délicieux petits sablés, en forme d'étoiles, de sapins ou de pères Noël, qui exhalent des parfums de cannelle, d'anis, de cardamome, de clous de girofle ou de vanille. Les enfants qui aident les parents à la préparation, découpent la pâte à l'aide de formes, et les décorent avec du sucre glace ou en passant une couche de chocolat fondu dessus.
Le Christstollen est le gâteau traditionnel de Noël, l'équivalent de notre bûche. Originaire de Dresde, il a une forme de pain allongé et la consistance d'un cake. Il contient des fruits confits, des raisins secs, des épices, du rhum, de la pâte d'amande, le tout recouvert de sucre glace. La forme de ce gâteau, qui date du Moyen-âge, représente le Christ enfant dans ses langes. Tout cela est bien joli, mais a part la fête commerciale que cela induit, ou est le Christ dans tout ça ? Il est nul-part ! E effet, il ne peut se trouver dans une Bûche de Noël ou dans une tarte aux abricots. Il est mort il y à plus de deux milles ans dans des conditions horribles et, jusqu’à ce jour, il n’à plus donner signe de vie ? Bof ! Certains diront, ce qui compte c’est qu’on s’en mette plein la gueule, qu’ont boivent, qu’ont dansent, bref, qu’ont festoient et que l’ont soient joyeux. Tempi si, dans d’autres pays, surtout en Afrique, des peuplades entières crèvent de faim. Personnellement je ne fête pas Noël ; car Jésus à dit que c’est seulement le jour de sa mort dont il fallait se souvenir. Mais les coutumes humaines sont-là, plus tenaces que jamais !
Ce sont les multinationales et les grandes surfaces commerciales qui se frottent les mains. En fin d’année, leurs bénéfices se chiffrent à plusieurs milliards d’euros. Pour eux, le Christ est inconnu et d’ordre secondaire. Ce qui les intéresse, c’est de remplir leur compte bancaire. Comme vous le savez, j’habite à l’île de la Réunion et très souvent j’entends certaines personnes qui se plaignent qu’ils ne peuvent s’en sortir avec la pension ou le RMI qu’ils touchent chaque mois. Le problème c’est, lorsqu’ont les voient sortir d’un magasin, leur Caddy est toujours plein jusqu’à ras bord. En générale, le montant de leurs achats dépasse 300 euros. Ce sont ceux-là même qui, toute l’année, sont en train de se plaindre et réclament toujours d’avantage aux pouvoirs public. Ils ne sont jamais satisfaits. Loin d’eux le souci de vouloir prendre soins des autres pendant cette période de fêtes. Il serait trop long ici de parler des multiples facettes de la religion et de tout ce quelle implique. Une chose est certaine, les habitants de notre planète sont devenus égoïstes, fainéants, et j’en passe et des meilleurs. Ils ne recherchent que les plaisirs, principalement ceux en rapport avec le sexe. Quelques fois, ils disent : Ont n’à autres choses à faire que de s’occuper des balivernes qui ont été écrites par des hommes, dans la Bible,il y à des siècles. Donc mes amis. Voila en résumé ce qu’il est advenu de la fête de Noël. Bonne année à vous tous !
Josué Matthieu
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